Découvrez en plus sur les Hyurs !
Bonjour et bienvenue dans le premier chapitre de cette série d’articles basés sur le lore de Final Fantasy XIV.
Pour commencer cette nouvelle rubrique nous allons parler des différentes races d’Eorzea et éplucher plus en profondeur le background souvent mis de côté par les joueurs, ceci afin d’éventuellement mieux comprendre certaines subtilités présentes dans le jeu ainsi que de montrer que rien n’est laissé au hasard.
Nous commençons donc cette série avec l’analyse des Hyurs, race principale d’Eorzea, que ce soit par le nombre de joueurs ayant sélectionné cette classe, ou par leur présence très impressionnante en Eorzea.
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I – Genèse :
Étant, comme cité ci dessus, la plus grande race en comparaison à la population en Eorzea, les Hyurs ne sont pourtant pas une race originaire d’Eorzea. Venus des autres continents d’Hydaelyn ainsi que des îles voisines, ils sont arrivés en plusieurs grandes vagues migratoires il y a environ 1000 ans (~572 de la 6e ère astrale). Les Hyurs ont apporté avec eux une technologie sophistiquée et une philosophie complexe, tempérée par la largeur du monde extérieur. Ils sont rapidement devenus une force motrice du progrès culturel, et sont maintenant largement aptes à pousser la civilisation Eorzéenne vers le progrès.
Un des points forts du Hyur est la variété incroyable de langues et d’institutions sociales qu’ils proposent. Ceci montre, même si cela se traduit aussi par un manque relatif de solidarité et de cohésion du groupe, leur ferme conviction dans les libertés individuelles. Deux groupes distincts existent au sein de cette race majeure d’Eorzea : les Hyurgoths (Highlanders), habitants des zones montagneuses, et les Hyurois (Midlanders), qui résident dans des altitudes plus basses.
- II – Diversités ethniques :
– Hyurois :
Nous commencerons par les Hyurois, qui constituent plus de la moitié de la race des Hyurs d’Eorzéa. Un point commun à tous les Hyurois : dès le plus jeune âge, ils sont élevés avec une éducation plus poussée et littéraire, ce qui en fait d’eux un des clans les plus lettrés et réfléchis. Ils se sont établis dans toutes les villes de la région, et la richesse de leur héritage culturel fait que leurs modes de vie sont particulièrement variés. Ils sont cependant légèrement plus fréquents et au premier plan dans Gridania qu’ailleurs, ceci est en partie due au fait que la plupart des Padjals sont nés de familles de Hyurois.
Faisons une brève aparté sur les Padjals qui ne sont pas vraiment une race à part-entière en Éorzéa. Ce clan est un autre genre de Hyur Gridanien beaucoup moins connu et très peu représenté, ceci dû à leur très faible nombre. Ces Hyurs donc, sont des personnes qui naissent très rarement avec des cornes, ils sont pour la plupart issus des plus anciens clans de la race ayant peuplé la citée État. Les plus connus sont les Senna, les Yan et les Pesi, tous traités à part par leurs familles respectives. Ils sont nommés différemment et reçoivent une éducation qui leur est propre. Les Padjals ont un don inné pour la magie blanche là où tous les Hyurs n’ont pas forcément une affinité particulière avec la magie.
Peu de choses séparent les Hyurois entre eux, les hommes ne sont qu’un peu plus grand que les femmes, leur force est semblable et leurs éruditions font qu’ils restent très terre à terre.
– Hyurgoths :
Nous voici venu au clan des Hyurgoths qui, comparés à leurs cousins des plaines, ont une stature beaucoup plus imposante et un passé tout autre malgré leurs quelques similitudes raciales. Les Hyurgoths (Highlanders) tirent leur nom d’une longue tradition d’habiter les régions montagneuses d’Eorzea, en particulier la région de Gyr Abania et sa fière cité-état : Ala Mhigo. Par rapport à leurs confrères Hyurois, les Hyurgoths sont sensiblement plus massifs dans leurs carrures. Bien que les Hyurgoths étaient majoritairement d’Ala Mhigo, la conquête de l’état par Garlemald les a tous conduit à travers Eorzea dans de grandes vagues migratoires en tant que réfugiés. La majorité d’entre eux peuvent être trouvée de nos jours à Ul’dah et dans sa périphérie proche. Les Hyurgoths ont été attirés par de belles paroles de riches Ul’diens avant d’apprendre plus tard que cela n’était uniquement des pratiques commerciales de Lalafells fortunés impitoyables. Beaucoup se trouvent maintenant dans les rues de Ul’dah, entassés en dehors de ses murs ou dans le camp de fortune pour les réfugiés, que certains pointent d’un ton moqueur. C’est ainsi que furent battis des zones comme la Petite Ala Mhigo.
Cependant, la grande diaspora des Hyurgoths ne les a pas seulement envoyé à Ul’dah, et ils peuvent être plus ou moins trouvé partout à travers Eorzea. Et même de nos jours, ce clan reste discret et se fait tout de même rare en dehors de ses montagnes, à l’exception bien entendu de ceux qui ont fui la chute d’Ala Mhigo vers Ul’dah comme cité ci-dessus. Les autres travaillant dans les autres villes sont, pour la plupart, engagés en tant que mercenaires proposant leurs services aux plus offrants.
D’un point de vue physique, les Hyurgoths sont plus grands et plus musclés que les autres Hyurs. Certains Hyurgoths peuvent même faire la même taille que de petits Roegadyns. Leurs anciennes pratiques visant à se tatouer le corps sont encore bien présentes aujourd’hui. Ils adhèrent pour la plupart d’entre eux au culte des douze et vénèrent surtout Rhalgr le Destructeur, gardien d’Ala Mhigo.
- III – Identités :
Les prénoms hyurois sont similaires aux prénoms anglo-saxons, celtiques et bretons apparus en Europe au Moyen-Âge (avant le XVIIe siècle). Les noms de famille prennent généralement leur origine dans la profession exercée ou le lieu où habitait la personne ou sa famille. Ils peuvent également souligner les traits d’une personne.
À l’inverse les prénoms hyurgoths sont proches des prénoms médiévaux européens de souche germanique ou normande. Étant une race guerrière, les Hyurgoths portent des noms de famille explicites qui viennent en fait des surnoms qu’on leur donne au combat. C’est pourquoi leurs noms peuvent sembler assez brutaux.
Anecdote amusante : Certains Hyurois aiment plaisanter sur le fait que les Hyurgoths, non contents d’avoir le même genre de physique que les Roegadyns, ont également des noms qui ressemblent aux leurs dans la construction, et que leur lignée n’est donc peut-être pas… « purement hyur ». Plus d’une fois, des rixes ont éclaté dans des tavernes après qu’un Hyurois a lancé une insulte de type « Ta mère était une femme du Clan de la Mer » à un Hyurgoth. Bien évidemment, l’issue de ces querelles est rarement heureuse pour leur instigateur.
- IV – Les « célébrités » Hyurs :
Nombreux sont les Hyurs avec des noms connus en Eorzea ; que ce soit Baderon le tenancier du « Dauphin Noyé » qui guide les aventuriers Limséens dans leurs premières heures. Tristan, l’antagoniste des invocateurs au cours de leurs quêtes de classes. Wymond, le receleur d’informations à Ul’dah. Ou bien ne serait-ce que Brennan, première personne que nous rencontrons dans le jeu et qui nous donne notre premier anneau dans la cinématique d’intro…
Nous allons cependant nous attarder sur quelques uns d’entre eux que beaucoup connaissent mais dont l’histoire peut être encore vague pour certains.
(Notez que les histoires des personnages cités ci dessous reprendrons les faits que nous connaissons via le lore ou l’histoire Final Fantasy 1.0, joué uniquement par une minorité de joueurs en comparaison à sa suite « A Realm Reborn »)
– Minfilia :
Personnage proéminent de « Final Fantasy XIV » et de sa suite « A Realm Reborn », Minfilia est connu pour être du groupe « Le Cénacle du Savoir » puis à la tête des « Héritiers de la 7e aube ». Mais son passé lointain reste assez vague pour beaucoup de monde. Pour en savoir plus sur ce dernier, il faut avant tout connaitre la véritable identité de Minfilia ; de son vrai prénom « Ascilia ». Nous la rencontrons dans l’histoire 1.0. Minfilia (Ascilia) est originaire d’Ala Mihgo et est arrivée à Ul’dah à l’âge de ses 10 ans avec son père Warburton, sans réellement savoir pourquoi ce dernier était venu dans la cité état du Thanalan. Warburton était un agent double qui, des années durant, avait fait croire à l’Empire que les résistants mhigois étaient ses pires ennemis alors qu’il était en réalité leur principale source de renseignements.
Mais la jeune enfant ne savait rien de cela. Elle n’était pas mécontente cependant de venir dans cette ville, excitée par les festivités présentes lors de son arrivée. Elle reçue une fleur de la part de F’lhaminn, une miqo’te présente au festival, ce fut la première personne avec qui elle eut un contact avec Ul’dah.
Un accident arrivant durant la parade de ces festivités mit la jeune femme en danger mais son père la sauva en prenant un Gobbue libéré de ses chaines à la place d’Ascilia. Alors que Warburton était dans le coma, la jeune femme rencontra Thancred et s’en suivi toute une partie de l’épopée 1.0 où l’enfant chercha à connaitre les coupables de cet incident. Après la rencontre d’un Elezen nommé Corguevais, responsable potentiel de ce qui est arrivé, elle revint auprès de son père, qui mourra peu de temps après. C’est F’lhaminn, qui avait prit soin du père jusqu’à maintenant, qui s’occupa alors de la jeune enfant, jusque là accompagnée par Thancred.
Plus tard, alors que Corguevais quitta Ul’dah en emportant Ascilia, qu’il révéla à la Hyur que les vrais responsables de l’accident étaient des personnes influentes d’Ul’dah, et que F’lhaminn était impliquée dans cette histoire.
Alors que la miqo’te rattrapa le duo et expliqua que tout cela n’était que pour créer une diversion et non causer une catastrophe, Corguevais chercha à fuir le groupe vers une destination inconnue. Ascilia essaya de le suivre et tomba dans une embuscade de Coblyns. C’est F’lhaminn qui la protégea en faisant barrière avec son corps et en prenant les blessures à sa place.
Après ce nouvel événement tragique, Ascilia se dirigea vers les cryptes d’Arrzaneth avec Niellefresne, un Elezen qui connaissait Minfilia et son père, et qui souhaitait utiliser la nécromancie pour ressusciter le défunt père. La jeune femme n’était pas très heureuse de cette idée, cependant quelques soit son opinion sur la chose, ceci fut de courte durée car une personne inconnue vêtue d’une robe noire assassina Niellefresne en le transperçant d’un coup d’épée avant de quitter les lieux. (Des débats ont eu lieu sur les forums quant à la possible identité de ce tueur). C’est en fuyant les lieux qu’Ascilia disparut et qu’on la vit sous ce nom.
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Beaucoup de joueurs ont ensuite découvert Minfilia en tant que membre du groupe « La voix des douzes » sous le commandement de Lousoix. Puis en tant que chef des « héritiers de la 7e aube ». Le seul lien qui lui reste avec son passé est sa mère adoptive que nous retrouvons dans l’épopée A Realm Reborn 2.1 : la miqo’te F’lhaminn. Ainsi que Thancred qu’elle considère comme son grand frère après que ce dernier l’ai de nombreuse fois sorti du danger lors de l’épopée 1.0.
– Yda :
Nous ne savons pas grand chose quand au passé d’Yda, la jeune Hyur pugiliste. Elle fût trouvée un jour dans la forêt de Sombrelinceul, au coeur du Bois des Douze près de Gridania, ceci alors qu’elle venait de tomber d’un vaisseau volant peu de temps auparavant. Son manque notoire de tact et de mœurs, fait qu’elle est constamment grondé par son partenaire Papalymo avec qui elle fut trouvée. Les élémentalistes de la ville sont amenés à croire que le sauvetage de ce duo est un signe envoyé par les élémentaires de la forêt. Ceci fait qu’Yda se proclamera comme une « Sauvée de la forêt » ou « Enfant des bois » pendant une certaine période.
Elle aidera pendant une période les élémentalistes de Gridania à mettre en oeuvre divers rituels. Ce n’est que bien plus tard que Papalymo et elle se joigneront à Y’shtola et Thancred dans leur lutte contre l’Imperial Legatus, connu plus communément sous le nom de Gaius Van Baelsar. Elle est notamment la seule personne qui arrivera à décrocher un coup sur le grand général de Garlemald.
La principale raison pour laquelle Yda restera à Gridania est de découvrir si la Cité-état envisage une guerre contre l’Empire, et contre la ville de Sharlayan. Elle rejoindra le groupe du Cénacle du Savoir avec Papalymo, se joignant ainsi Y’shtola et Thancred sous le commandement de Louisoix jusqu’à la disparition de ce dernier. Et sera plus tard l’un des membres fondateurs des Héritiers de la 7e Aube.
– Thancred :
Les origines de Thancred sont inconnues, mais il est apparu dans Ul’dah il y a deux décennies et n’a étrangement pas beaucoup vieilli depuis son arrivée. Ce qui est connu et sûr c’est que Thancred est une personne sensible à l’ether. Cependant il n’a été qu’un gamin des rues errant dans Limsa Liminsa un bout de temps avant d’être recruté par Louisoix Leveilleur.
Thancred, qui était présent au moment où le père d’Ascilia (vrai prénom de Minfilia) périt, fut un soutien précieux pour cette dernière. C’est notamment lui qui lui conseilla d’utiliser un faux nom pour éviter que les troupes impériales retrouvent sa trace. Grand vagabond dans l’âme due à ses origines et à son passé d’enfant des rues, ce barde autoproclamé n’était pas souvent à Ul’dah, mais chaque fois qu’il venait en représentation dans le Thanalan, il ne manquait jamais de lui rendre visite.
Ce Hyur emblématique restera autant mystérieux tout au long de l’aventure que ce soit sur ses ambitions, son passé ou sur ses actions. Il restera dans l’ombre de nombreux moments mais refera surface lors de la confrontation entre le Cénacle du Savoir et Gaius Van Baelsar.
On le retrouvera également dans la cinématique nommée « La fin d’une ère », marquant la fin de la 1.0, il est vu prier les douze à effigie présente à la guilde des occultistes. On apprend également dans des récits qu’il persuadera le Sultane Nanamo Ul Namo de faire une réplique de cette effigie aux cryptes d’Arrzaneth.
Thancred gardera ce comportement solitaire tout au long de l’histoire, ce qui lui vaudra bien des tours dans « A Realm Reborn ».
– Kan-E-Senna :
La plus âgée des Padjals vivants connus est Kan-E-Senna, elle est la soeur de Raya-O-Senna et de A-Ruhn-Senna. Comme ses semblables parmi ceux nés de la prestigieuse lignée Senna, Kan-E a été bénie par les Douze avec le don de prophétie, ses visions dégagées sont obsédantes et détaillées. Elle a été admise très jeune à la guilde des élementalistes de Gridania, avant son sixième cycle pour être précis (rappelons que les Padjals vivent bien plus longtemps que les Hyurs normaux), et ceci pour avoir prédit un feu dévastateur et une infestation de sauterelle au sein de la forêt de Sombrelinceul.
Après être devenue une Soeur du Bois des Douze, il fallut peu de temps avant qu’elle se soit levée également au rang d’Oracle Ainée, l’un des plus haut rang au sein de Gridania, les Oracles Ainés guident le peuple Gridanien sur la volonté des élémentaux de la forêt. Les citoyens Sombrelincois placent une grande confiance dans leur sagesse. Cependant Kan-E laissa Gridania pour retourner vivre dans la forêt avec ses semblables, où elle servit la cité-état en conversant intimement avec les élémentaires, maintenant l’équilibre délicat entre l’homme et la nature.
Plus tard, alors que le nombre de rumeurs quant aux phénomènes anormaux ne cesse de croître, Kan-E a dû quitter la forêt et retourner à la Cité-état et commencer la mise en place de plusieurs démarches, l’une d’entre elles étant le rétablissement de l’Ordre des Deux Vipères pour préparer la forêt pour ce qui les attend, Sombrelinceul étant la zone géographiquement la plus proche de Garlemald. Cette femme, qui a gagné le respect du peuple en laissant toujours ses actions parler aussi fort que ses mots, sera la première à demander aux autres Grandes Compagnies de réformer l’Alliance Eorzéenne afin de se défendre contre l’avancée de l’Empire.
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– Hildibrand :
« Hildibrand Helidor Maximilian Manderville » de son nom complet est l’un des personnages les plus appréciés de la série Final Fantasy XIV pour la raison simple : c’est un comique-relief faisant rire les joueurs de par sa stupidité et les situations assez insolites dans lesquelles il se retrouve au fil de ses aventures.
On ne sait pas grand chose de l’enfance du détective. Nous savons juste que c’est un passionné de justice et d’histoires à résoudre. C’est pourquoi on pouvait le retrouver par le passé comme un justicier itinérant qui s’aventurait dans les tavernes d’Eorzea pour résoudre les problèmes locaux, cela permettait entre-autre aux joueurs de débloquer l’accès aux chambres d’auberges. Même si cela lui causait des soucis la plupart du temps, prenons pour exemple la fois où il prit une raclée par les forces de l’ordre Limséennes alors qu’il posait comme un bandit.
Au cours de la 7e ère ombrale, Hildibrand chercha le héros dont il était prédit qu’il ferait face à Dalamud. C’est alors qu’il rencontre par hasard à Ul’dah un vieux fermier qui était guerrier dans sa jeunesse. Alors qu’il aidait le vieil homme dans son champ de potirons, il compris de travers la prophétie dite par Urianger Augurelt, il croit alors qu’il est le Héros de la Lumière qu’il cherchait et décide de se battre contre Dalamud. C’est alors que Nashu, son assistante, trouve le pistolet-hallebarde de la défunte Nael Van Darnus Bradamante, qui a fini en la possession de l’agriculteur après un achat auprès d’un marchand du Coerthas.
Quand le détective essaye d’utiliser ce qui est supposé n’être qu’une arme ne fonctionnant plus, Hildibrand est alors propulsé dans les airs et fonce alors vers Dalamud ceci dû à une explosion causée par une étincelle de l’arme Nael Van Darnus avec l’ignition de cendres de Bombo. C’est la dernière fois qu’on vit le gentilhomme détective jusqu’à « A Realm Reborn »
Voilà qui conclut le chapitre des Hyurs. Nous parlerons dans le prochain article d’une autre race, cette fois-ci moins célèbre en Eorzea. Et vous chers lecteurs, quelle race jouez-vous ? Quel personnage vous intrigue ? Sur quoi aimeriez vous en savoir plus ? N’hésitez pas à partager vos ressentis sur cette nouvelle série d’articles d’Eorzea Times.
L’équipe de rédaction vous donne rendez vous très vite pour la suite de « Raconte moi Eorzea », la rubrique qui décortique le Lore de Final Fantasy XIV.
C’est un bon résumé, mais il n’y a rien qui « [montre] que rien n’est laissé au hasard ». C’est beaucoup de généralités et d’aspects peu inspirés qui ne participent pas à forger l’identité de FFXIV. Le seul truc qui se démarque c’est l’histoire d’Ascillia (de la v1 donc, bizarrement…)
Une petite remarque, dans la catégorie célébrité « Hyur », La famille Senna ainsi que les différents Padjle de l’univers de FFXIV, il faudrait peut-être préciser que les Padjals sont des Hyurs très rare est spécifique à une ligné de sang, c’est limite un sous-type like Hyurois et Hyurgoth.